Le grand répertoire : Machines de spectacle
Éditions Actes Sud
Référence 978-2742744930
188 pages
Présentation de l’éditeur
Concepteur et constructeur de décors et machineries, François Delarozière explore depuis une vingtaine d’années l’art du mouvement. Spécialisé dans le théâtre de rue et intimement associé, dès 1983, à l’aventure de la compagnie Royal de Luxe, il est aujourd’hui un créateur accompli et une référence pour ses pairs. L’exposition et le livre Le Grand Répertoire dont il est l’instigateur posent un regard renouvelé sur quatre-vingt
machines de théâtre. Un concentré d’âme et de mécanique, d’aventure collective et de recherche personnelle, de matière et de poésie. Car la structure d’une machine n’est jamais anodine. Les matières parlent entre elles, et confèrent à l’objet sa justesse, sa profondeur, son réalisme. Dans le choix des matériaux et de la forme, il est question d’éthique et de plaisir. C’est en grande partie ce choix qui donne du sens à son travail
Et bien sûr, au cur de la démarche de François Delarozière, le mouvement s’avère fondateur. C’est par lui que s’insère la vie, offrant une dimension nouvelle à l’objet. Sans mouvement, le temps et les cycles ne s’incarnent pas. Il n’y a ni vitesse ni lenteur. Et donc pas d’histoire. Chef de bande, François Delarozière adore les histoires… surtout communes. Il possède le sens du partage. Mieux que ça, il en a l’impératif besoin. Ça tombe bien, l’art n’est que nécessité. (Christine Amara)
machines de théâtre. Un concentré d’âme et de mécanique, d’aventure collective et de recherche personnelle, de matière et de poésie. Car la structure d’une machine n’est jamais anodine. Les matières parlent entre elles, et confèrent à l’objet sa justesse, sa profondeur, son réalisme. Dans le choix des matériaux et de la forme, il est question d’éthique et de plaisir. C’est en grande partie ce choix qui donne du sens à son travail
Et bien sûr, au cur de la démarche de François Delarozière, le mouvement s’avère fondateur. C’est par lui que s’insère la vie, offrant une dimension nouvelle à l’objet. Sans mouvement, le temps et les cycles ne s’incarnent pas. Il n’y a ni vitesse ni lenteur. Et donc pas d’histoire. Chef de bande, François Delarozière adore les histoires… surtout communes. Il possède le sens du partage. Mieux que ça, il en a l’impératif besoin. Ça tombe bien, l’art n’est que nécessité. (Christine Amara)
Excellente iconographie !